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Sainte-Marie-Majeure, Une basilique de Rome dans l’histoire de la ville et de son église (Ve-XIIIe siècle)
EAN13
9782728310111
Éditeur
Publications de l’École française de Rome
Date de publication
Collection
Collection de l'École française de Rome
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Sainte-Marie-Majeure

Une basilique de Rome dans l’histoire de la ville et de son église (Ve-XIIIe siècle)

Publications de l’École française de Rome

Collection de l'École française de Rome

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L’idée de ce travail avait été suggérée en 1993-1994 par feu le cardinal Ugo
Poletti, alors archiprêtre de Sainte-Marie-Majeure, et trouva une première
expression à plusieurs voix dans l’ouvrage collectif dont il avait été
l’instigateur : Santa Maria Maggiore e Roma. À la différence de celui qu’avait
dirigé le regretté Carlo Pietrangeli : Santa Maria Maggiore a Roma, il devait
montrer, non seulement la place de la basilique parmi ses homologues romaines
en dégageant, comme il est courant de le faire dans les monographies qui leur
sont consacrées, ses caractéristiques architecturales et artistiques, mais
encore, ce qui est beaucoup moins fréquent, son rôle dans la vie religieuse de
la Ville et de l’Église de Rome, voire de l’Église universelle. J’avais
collaboré à l’ouvrage voulu par le cardinal Poletti en esquissant dans cette
perspective l’histoire de la basilique du ve au XIIIe siècle. Cette
chronologie est restée celle de mon présent travail, sauf que je l’ai élargie
en amont par l’examen de la préhistoire de la basilique et en aval par l’usage
de la documentation manuscrite d’intérêt cultuel, cœxtensive à tout le Moyen
Âge, voire à une bonne partie de l’époque moderne, provenant de Sainte-Marie-
Majeure et conservée aujourd’hui à la Bibliothèque Vaticane. Je l’ai prolongé
en guise d’épilogue, par le rappel du conflit qui opposa Boniface VIII aux
cardinaux Colonna, archiprêtres de la basilique libérienne avant et après le
conflit, et qui marqua la fin des rapports que depuis son origine les papes
avaient entretenus avec elle. C’est à la mémoire de celui qui en fut le
premier inspirateur que j’ai dédié le présent travail.
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