La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h à 19h.

28-30 rue aux Cordiers
71400  Autun 

03 85 52 07 32

autunlibrairie@gmail.com

Le dernier empereur
EAN13
9782262038748
Éditeur
Tempus Perrin
Date de publication
Collection
Tempus
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Le dernier empereur

Tempus Perrin

Tempus

Indisponible

Autre version disponible

Le règne fulgurant et tragique de l'Archiduc Charles qui tenta de sortir son
pays de la Première Guerre mondiale, de le démocratiser politiquement et qui
au milieu des épreuves et de l'exil sut conserver intacte sa foi en l'homme et
en Dieu.


Vienne, 1916 : l'empereur François-Joseph meurt après soixante-huit ans de
règne. Son successeur est son petit-neveu, titré Charles Ier en Autriche et
Charles IV en Hongrie. Âgé de 29 ans, accédant au trône en pleine guerre, le
nouveau souverain possède un programme : la paix, les réformes, notamment
sociales. En 1918, la guerre est perdue, la Double Monarchie se disloque et
Charles Ier doit quitter le pouvoir. Réfugiée en Suisse, la famille impériale
est ensuite reléguée à Madère. Sans ressources, elle y fait l'épreuve du
dénuement. Le 1er avril 1922, le dernier empereur meurt de maladie, à l'âge de
34 ans. L'impératrice Zita, sa femme, attend alors son huitième enfant.
Esprit généreux et sincère, béatifié par Jean-Paul II en 2004, Charles
d'Autriche sut, au milieu des épreuves et de l'exil, conserver intacte sa foi
en l'homme et en Dieu.

Jean Sévillia a publié chez Perrin des essais remarqués : Le terrorisme
intellectuel, Historiquement correct, Moralement correct, et Zita, impératrice
courage.


Presse:

" Il faut se précipiter sur ce livre, plus de 300 pages exaltantes et
traversées d'élans du cœur qui nous emportent au-delà des mots. "
Jean Raspail, Le Figaro Magazine

" Cette biographie magistrale de Jean Sévillia restaure avec bonheur l'image
et les mérites d'un homme fidèle jusqu'à sa mort (en 1922, âgé de 34 ans) à sa
foi, à sa famille, à ses peuples (autrichien, hongrois, croate, ruthène,
tchèque, etc.). Son courage politique durant la guerre devait être salué, le
chemin de croix que furent son exil et sa maladie, rappelé. C'est fait, et
bien fait. "
Le Figaro Magazine, 11 Février 12
S'identifier pour envoyer des commentaires.