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Pourquoi je déteste la nature
EAN13
9782374982137
ISBN
978-2-37498-213-7
Éditeur
Wombat
Date de publication
Collection
Les Insensés (1)
Nombre de pages
128
Dimensions
18,7 x 12,6 x 1,1 cm
Poids
142 g
Langue
français
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Pourquoi je déteste la nature

Wombat

Les Insensés

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Une drôle de leçon d'écologie par l'humoriste du New Yorker Robert Benchley.
C'est bien beau de chanter les louanges de mère Nature, mais n'en fait-on pas un peu trop ? La nature n'aurait-elle pas elle aussi quelques défauts ? Les violents orages, les blizzards bizarres, les chutes de météorites, les pigeons malveillants et autres volatiles agressifs, les tarentules géantes et les chiens qui se mettent à parler… Autant d'épreuves pour les nerfs de n'importe quel individu sensé et sensible.
Certes, on peut s'attrister de la disparition d'espèces animales, mais certaines, comme le tétra des prairies, avaient peut-être aussi de très honorables raisons de s'éclipser. Quant à tenter de faire ami-ami avec la nature, en s'appliquant à connaître le nom des fleurs, à se mettre au jardinage ou à observer des colonies de fourmis, sachez que ces louables occupations risquent de vous rendre légèrement névrosé, un poil dépressif, voire carrément dingo.
Dans ce recueil original rassemblant plus de vingt nouvelles inédites en français, le plus caustique des humoristes de l'âge d'or du New Yorker, Robert Benchley, en fervent partisan d'une écologie dubitative, remet enfin les pendules à l'heure avec la nature !
L'AUTEUR
Chroniqueur humoristique, Robert Benchley (1889-1945) publia ses textes dans les plus prestigieux magazines de son époque, de Vanity Fair au New Yorker. Dès 1928, il fut aussi l'un des premiers comiques du cinéma parlant et reçut un Oscar pour son film intitulé : Comment dormir ? Membre fondateur du « cercle vicieux » de l'hôtel Algonquin avec sa grande amie Dorothy Parker, il fit les quatre cents coups, entre New York et Hollywood, en compagnie de joyeux drilles tels Ernest Hemingway et Errol Flynn.
Maître de l'humour décalé et absurde, admiré par ses pairs, de Stephen Leacock à Woody Allen, Robert Benchley demeure l'un des écrivains américains les plus drôles du XXe siècle.
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